La société française d'assurance SFAM a complètement transformé la scène des assurances santé en France. Désormais, les formules de protection disponibles proposent des garanties sans précédant pour les personnes physiques et objets de toute sorte : une révolution qui a donné naissance à de nouveaux métiers dans ce secteur en pleine évolution.
Sfam projet : un modèle contemporain à succès
Grâce à son fondateur sadri fegaier, la sfam a su convaincre de nombreux consommateurs conscients des limites des formules d’assurance proposées en France. Désormais, vos achats, notamment les objets high-tech, peuvent être couverts par cette assurance d’un nouveau genre. Même si le vendeur ne propose pas les garanties nécessaires pour protéger vos biens de valeur, vous allez pouvoir bénéficier d’un bon niveau de protection en cas de perte, de vol et de dommages de grande envergure. Mais les ambitions de l'assurance sfam sur www.ledauphine.com ne s’arrêtent pas là, puisque cette société devenue actionnaire du groupe Fnac Darty en 2018, a entrepris de nouveaux projets. On compte parmi eux le sfam campus qui s’étend sur une superficie de 3 hectares. Avec ses espaces commerciaux, ses bureaux et son auditorium pouvant accueillir jusqu’à 2000 personnes, le campus sera en mesure de proposer 2000 emplois : un facteur stimulant pour booster l’économie française et résoudre le fléau du chômage même de manière partielle. À savoir : Dans le cadre d’un programme immobilier astucieux, la sfam construction à Romans-sur-Isère et à Roanne représente une solution de logement indispensable pour les salariés fraîchement recrutés.
Amélioration du service client
À côté du développement de projets complémentaires tel que le projet sfam, les assurances françaises accordent désormais un intérêt particulier à la relation client, et ce pour répondre aux attentes d’une clientèle toujours plus exigeante. Le temps où les clients pouvaient se contenter d’empocher un chèque de dédommagement est bien révolu ! On attend aujourd’hui beaucoup plus de la part de nos assureurs. Si le client n’est pas traité comme il se doit, s’il ne bénéficie pas d’un accompagnement sur-mesure pour régler le problème ou le sinistre auquel il fait face, il y a de fortes chances qu’il change d’assureur sans même y réfléchir. Ainsi, les sociétés d’assurance ont mis en œuvre un plan de recrutement et de développement des compétences orienté vers un service parfait pour les clients. De nouveaux emplois ont ainsi vu le jour. Non qu’ils soient totalement innovants, mais ils présentent toutefois une vision réaliste des besoins de l’assuré. Le télé-conseillé, tout comme le chargé de clientèle, doit faire preuve d’adaptabilité et de créativité afin d’obtenir plus de satisfaction. Des moyens humains sont mis en œuvre pour prendre en chargé le sinistré en tenant compte de son état psychologique et de la difficulté de la situation dans laquelle il se trouve.
Adaptation au digital
Si un chargé de clientèle pouvait satisfaire assurés et sociétés d’assurance avec son sérieux et ses aptitudes relationnelles, ces qualités sont désormais insuffisantes. Avec la place que le numérique prend dans toutes les entreprises, quels que soient leurs domaines d’activités, on attend d’un employé du secteur de l’assurance des compétences pointues dans les supports digitaux. Blockchain, big data, réseaux sociaux, intelligence artificielle, un employé en assurance est tenu de maîtriser des outils et logiciels très développés sur le plan technologique. On compte désormais de nouveaux emplois liés à ces domaines dans tous les établissements d’assurance :
- Community manager
- User interface designer
- User experience designer
- Responsable en cyber-sécurité
Même si ces professions commencent à s’imposer massivement sur le marché de l’emploi, le nombre de compétences demeure insuffisant dans le secteur des assurances. L’univers assurantiel recrute continuellement de jeunes talents maîtrisant les réseaux sociaux et la programmation informatique afin de proposer des services correspondant à un marché devenu essentiellement digital.